Saint-Augustine Flagler College
A

l’occasion de notre road trip de 15 jours en Floride, nous avons commencé par remonter la côte Est, de Miami à St Augustine et avons pu alors visiter les principales villes présentes le long de l’Océan Atlantique, sans omettre les longues étendues de sable qui le bordent. En allant du sud vers le nord, on passe de l’exubérance et de l’extravagance américaines à l’histoire des premiers colons ayant décidé de s’établir dans ce « Nouveau Monde ». On peut également faire quelques détours par la course à la conquête de l’espace, l’oisiveté des milliardaires à la retraite ou l’effervescence des plus grands circuits automobiles. C’est donc à la fois un voyage à remonter le temps et une balade à travers les différences sociales et culturelles des USA.

Si toutefois vous êtes pressés, vous pouvez cliquer sur les liens du sommaire pour naviguer comme bon vous semble dans l’article, avant de revenir poursuivre votre lecture plus tard 😉

Fort Lauderdale

Après avoir effectué quelques recherches pour préparer notre itinéraire, nous avons décidé de ne faire qu’une simple halte dans cette ville qui s’étend sur près de 11 kilomètres. En effet, comme vous le savez peut-être, nous ne sommes pas forcéments fans des rangées de buildings étalés en bord de plage. Cependant, nous y avions décelé deux points d’intérêt : l’océan à perte de vue et les canaux avec leurs villas typiquement floridiennes. Qui plus est, on ne reste jamais sur un a priori et cela nous aurait semblé fou de ne pas nous rendre dans l’une des principales villes de Floride. Bon et puis, de toute façon, on ne roule jamais plus d’1h30 sans faire une pause (café, clope, verre, en-cas, peu importe, on s’arrête et on a toujours un bon prétexte). Rassurez-vous, on tient la route et elles ne sont jamais bien longues mais disons que c’est notre petit kiff lors de nos road-trips ! Alors, en définitive, autant que cette pause se fasse à Fort Lauderdale et nous permette de découvrir la ville.

Ainsi, pour ce premier arrêt le long de la côte, nous avions opté pour Fort Lauderdale Beach, à la pointe sud de la plage. Nous avons donc laissé la voiture dans un parking au niveau du Fort Lauderdale Beach Park puis nous avons remonté le boulevard en passant par la plage. Cela ne faisait que deux jours que l’on était en Floride mais on ne se remettait toujours pas d’être en tenue estivale et de marcher dans le sable ! Ce jour-là, il y avait un peu de vent et quelques nuages, ce qui ne nous a en rien empêchées de partir pour une promenade sur cette immense plage quasi déserte, où seules quelques mouettes faisaient leurs affaires au bord de l’eau. La plage est très longue, assez large et l’on reconnaît bien la force de l’Océan Atlantique, d’un bleu profond, perlé d’écume. C’est beau et on y est bien !

Mais bien sûr, comme les voyages n’en sont pas sans leurs lots de mésaventures, la première commence ici ! On se promène donc dans le sable et soudain l’une de nous trébuche : crac, doigts de pieds qui se tordent dans la Converse et douleur vive. Après quelques « aïe, j’ai vraiment mal », on continue malgré tout. Une fois la balade terminée, on remonte sur le bitume et comme nos chaussures étaient pleines de sable, on décide de les secouer. Et bien le doigt de pied qui avait fait « crac » est tout rouge et bien gonflé… Ce n’est pas grave, on ne va pas s’arrêter à ça donc, malgré quelques difficultés à marcher, on poursuit notre visite.

Sur le boulevard qui longe la plage, il y a une succession de bars, de cafés, de restaurants, tous avec une terrasse, au pied d’immenses immeubles aux tons clairs. On en choisit une pour prendre un petit café, celle de Gran Forno. Nous avions l’intention de mettre à jour notre « carnet de bord » (que l’on tient pour pouvoir ensuite vous raconter tout ça !) mais, au bout de quelques minutes, une petite averse pointa le bout de son nez. Nous nous sommes alors abritées à côté d’un couple de soixantenaires, sous un parasol, pour finir notre café. Au bout de 5 minutes, le ciel était redevenu bleu mais, la discussion s’était déjà engagée avec nos voisins québécois. Après une conversation chaleureuse et quelques tuyaux récupérés pour notre prochain voyage au Québec, nous avons ensuite repris notre chemin vers un autre quartier de la ville : les fameux canaux.

Fort Lauderdale, surnommée la « Venise de l’Amérique » (bon, c’est quand même un peu exagéré comme surnom !), est en effet construite en grande partie autour de canaux artificiels. Pour les entrevoir, le mieux est de remonter le Las Olas boulevard, de part et d’autre duquel on aura une vue imprenable. On traverse déjà un grand pont, d’où l’on peut voir un petit port de plaisance, puis on arrive dans un quartier très résidentiel avec, sur la droite, d’immenses villas, devant lesquelles des yachts privés sont amarrés. En continuant un peu, on peut emprunter des rues perpendiculaires, qui circulent le long de l’eau et des villas. Dommage que la majorité des accès à l’eau soient privés mais il y a quand même de quoi se balader afin de découvrir ce quartier typique de la Floride.

En retournant vers la voiture, une petite inquiétude commençait à se faire sentir puisque notre ticket de parking avait expiré (et attention, les ricains, avec leurs shérifs, ils ne plaisantent pas du tout !). Nous n’avions pas prévu assez de temps car nous pensions rester à peine une petite heure et nous avons finalement passé près de 2h30 à Fort Lauderdale. Sur le retour, nous avons essayé de ne pas traîner (pas facile en boitant) mais voilà que sur le chemin, nous tombons nez à nez avec un Bubba Gump ! Vous savez, c’est cette chaîne de restaurants inspirée de Forrest Gump et spécialisée dans…la crevette, bien sûr ! A chacun de nos voyages aux States, nous n’avions jamais eu l’occasion de tester et il se trouve que là, nous passions littéralement devant et il était l’heure de déjeuner. Néanmoins, une petite faim plus une grosse appréhension de la contravention nous ont fait opter pour quelques crevettes à emporter. Notre commande récupérée, nous filons rejoindre la voiture, autour de laquelle rôde un flic armé d’un appareil électronique servant à verbaliser. Il nous a eues ou pas ? Pas moyen de le savoir mais nous démarrons vite fait, en espérant être passées au travers, et reprenons la route. D’accord, on met un bémol sur le « vite fait » puisque nous avons quand même pris le temps de déguster nos crevettes, très bonnes d’ailleurs (le seul reproche, s’il devait y en avoir un, serait le prix, un peu élevé au regard de la quantité) !

En définitive, ce premier aperçu de la côte nous a immédiatement plongées dans l’ambiance : plage à perte de vue, océan, buildings, terrasses, canaux… Et figurez-vous que nous nous sommes senties totalement en adéquation avec celui-ci. En fait, on était tout simplement bien à Fort Lauderdale, on aurait pu rester encore un peu plus longtemps à passer de plage en terrasses, à profiter de la chaleur et à déambuler le long des boulevards. Malgré cela, on n’en démord pas, c’est un endroit agréable pour une halte le temps de quelques heures mais ça ne vaut pas forcément le coup d’y dormir. Quoi qu’il en soit, il nous fallait reprendre la route pour poursuivre notre road trip vers le nord donc nous avons laissé la ville derrière nous.

Pour info, en rentrant en France, nous nous sommes renseignées et il est possible de savoir, en entrant son numéro de plaque d’immatriculation, si l’on a une amende ou non. Ce système est mis en place par la ville elle-même donc, en cas de doute, cherchez si la ville dans laquelle vous avez éventuellement eu une contravention propose ce type de service. Pour Fort Lauderdale, voici le lien : https://fortlauderdaleparking.t2hosted.com/Account/Portal.

Palm Beach

A une petite heure de route de Fort Lauderdale, on tombe sur Palm Beach qui, grâce à son nom, nous induit l’image d’une petite ville balnéaire tranquille. Elle est surtout réputée pour être l’une des villes les plus riches des Etats-Unis, abritant un paquet de milliardaires. Alors, que va donner une telle ville ? On ne savait pas trop à quoi s’attendre mais elle nous a offert une agréable surprise !

En arrivant par le bord de mer, on ne distingue pas tout de suite l’architecture qui nous attend. Un petit indice met néanmoins la puce à l’oreille : une tour d’horloge en pierres ocre jaune installée face à l’océan nous indique que les bâtiments seront sans doute différents de ceux que nous avions vus jusqu’à présent…
Nous avons laissé la voiture le long de la plage municipale, à quelques rues de la célèbre Worth Avenue. Du haut de la promenade, la plage semblait belle, semblable à celle de Fort Lauderdale, avec en arrière fond des immeubles moins hauts et plutôt dans les tons jaunes. On commence par s’installer sur un banc à côté de la voiture, armées de nos pains de glace, pour tenter de soulager l’orteil, qui était désormais très gonflé, très rouge et très douloureux (oui, on suppose qu’il était cassé au final). Pendant ce temps-là, celle de nous deux qui ne boitait pas cherchait désespérément un parcmètre en fonctionnement et finit par en trouver un après vingt longues minutes. 5$ de l’heure. Ah c’est donc à ça que l’on reconnaît la ville la plus riche de Floride ?! C’est parti pour une heure !

On arrive au début de Worth Avenue et l’on s’y engage. Il s’agit de la rue principale du centre, celle qui regroupe toutes les boutiques luxueuses et l’animation. Là, c’est bien un tout autre décor qui se dévoile à nos yeux ébahis : des bâtiments d’architecture hispanique, un mélange de couleurs, entre l’ocre jaune de certaines façades, le vert des palmiers plantés le long des trottoirs, le bleu du ciel et les couleurs vives des fleurs aux balcons. Alors, oui, bien sûr (puisqu’il s’agit de la principale critique faite à Palm Beach), on repère rapidement que l’on est dans une ville richissime, aussi bien aux tenues vestimentaires des passants, aux enseignes des boutiques, aux voituriers ainsi qu’aux voitures qu’ils garent. Cependant, ce n’est pas ce qui frappe le plus. C’est surtout, d’une part, ce changement de décor complet par rapport à ce que nous avions pu voir jusqu’alors et, d’autre part, cette architecture à laquelle on ne s’attendait absolument pas. Quelle agréable surprise ! Le long de l’avenue, il y a régulièrement des percées vers des cours arborant fontaines et palmiers, des passages extérieurs sous des voûtes du blanc éclatant que l’on peut trouver dans les pays du sud de l’Europe, des patios aux balcons en bois et aux portes en fer forgé. Pour couronner le tout, c’est très fleuri : du rose, du vert et du mauve pour l’essentiel. Certes, les seuls reproches que l’on pourrait formuler sont que l’architecture n’est pas d’époque (elle a été créée dans les années 20 pour satisfaire aux goûts de ses riches résidents) et tout y est très, voire trop, « propre ». Néanmoins, c’est loin de nous gâcher le plaisir et nous passons volontiers outre ces quelques aspects.

L’avenue n’est pas très longue et se parcourt rapidement. En profitant de quelques détours par les cours et autres patios, en jetant un ou deux coups d’oeil aux rues adjacentes, le tour était à peu près bouclé en 1h. Comme le ciel s’était bien dégagé depuis notre arrivée, nous voulions lézarder un peu sur la plage et avons donc ajouté une heure supplémentaire au parcmètre (encore 5$, aïe !). Nous avons pris un bon bain de soleil en écoutant le bruit des vagues, des mouettes et en allant goûter l’eau du bout des orteils. Cette petite virée au pays des milliardaires était drôlement sympathique et, là encore, nous l’aurions bien prolongée un peu !

Avant de reprendre la route en direction de Cocoa Beach, où nous devions passer la nuit, nous avons fait un petit crochet par West Palm Beach. Collée à sa voisine, elle révèle quant à elle un tout autre visage. Fondée par le même investisseur, elle a été créée pour loger les ouvriers des chantiers de Palm Beach. Le petit centre ville se compose d’une rue principale, Clematis Street, donnant sur une place près du front de mer. Il n’y a pas énormément de choses à voir mais c’est mignon, les bâtiments sont faits de briques rouges ou peints avec des couleurs pastel et on y trouve une succession de bars et restaurants avec terrasses et bonne ambiance. Nous en avons seulement profité le temps d’un expresso car nous devions déjà repartir. Si vous deviez loger dans les environs, West Palm Beach serait un bon compromis car les logements doivent y être plus abordables et il y a de quoi passer de bonnes soirées.

Saint Augustine

Nous y voilà ! La plus ancienne ville des États-Unis… St Augustine est en effet reconnue pour être le lieu d’accostage du premier conquistador espagnol a avoir mis les pieds sur ce continent. C’est ensuite un autre espagnol qui, 50 ans plus tard, en 1565, fonda la ville. Tout un pan de l’histoire des USA concentré à une centaine de kilomètres de la frontière nord de la Floride ! Autant vous dire que nous attendions cette visite avec impatience et que nous y avions mis plein d’espoirs (qui ne furent pas déçus, on vous rassure tout de suite !).

Nous sommes arrivées à St Augustine en tout début de matinée, au moment où les commerces commençaient à peine à ouvrir et où les touristes n’étaient pas encore présents. Venant de Saint Augustine Beach, nous avons pu jeter un oeil, au loin, sur le premier phare de Floride. Rayé de noir et de blanc, situé sur Anastasia Island, à quelques coups de volant de la ville, il a une certaine allure. Une fois dans le centre historique, nous avons laissé la voiture au parking situé aux pieds du forteresse San Marcos. Le centre s’étend grosso modo du château au Pont des Lions et est traversé par deux artères principales, St George Street et King Street.

L’idéal est d’entrer dans la ville par la Plaza de la Constitución et de s’y balader en suivant son instinct, ce que nous avons fait. Nous avons commencé par un tour le long de la rivière Matanzas, qui borde le centre. La balade est agréable et offre de beaux points de vue sur le Pont des Lions, la rive d’en face et l’imposante place principale, avec ses bâtiments d’époque aux couleurs chaleureuses.

Plusieurs secteurs composent St Augustine et tous ont leur propre charme. C’est vrai que, comme on est aux Etats-Unis, quelques façades ont été restaurées (notamment sur St George Street) et sonnent un peu « faux », un peu « Disney » mais on oublie vite ce côté-là et il n’est pas présent partout. C’est une ville pleine de couleurs : des jaunes, des rouges, des dérivés d’ocre pour la plupart. On peut se promener sous les arcades en fer forgé d’un ancien magasin général datant du XIXe siècle, croiser la plus vieille école des USA, qui prend la forme d’une petite cabane en bois ou encore entrer dans un passage couvert ayant conservé son atmosphère et son charme de l’époque, avec murs en bois, ventilateurs au plafond et carrelage au sol.

Au fur et à mesure de nos déambulations, on est saisies par l’ambiance, par l’architecture, par l’histoire. C’est une vraie découverte que cette ville ! On y trouve aussi d’immenses arbres aux troncs biscornus recouverts de « mousse espagnole » (vous savez, ces longues mousses qui pendent des branches et qui donnent un air de Louisiane ?!). Et puis, niveau architecture, il y a aussi le Flagler College, à ne manquer sous aucun prétexte ! Une magnifique bâtisse datant de la fin du XIXe, initialement construite pour être un hôtel et reconvertie plus tard.

Bref, on pourrait vous en décrire par dizaine mais on finira simplement par un coin encore plus authentique, où nous n’avons croisé aucun touriste mais des demeures d’époque, en bois, toutes aussi belles les unes que les autres. Ainsi, en s’écartant de quelques mètres des principales artères, on tombe sur Cordova Street, plus résidentielle mais où l’on peut s’installer pour une petite pause sucrée chez Choco Lattes, un café fréquenté par les jeunes un peu branchés de la ville.

Nous avons passé 2h30 à Saint Augustine, avant de reprendre la route pour rejoindre la côte Ouest. Bien sûr, nous nous sommes concentrées sur la ville en elle-même, afin de la découvrir et de s’imprégner de son atmosphère. Nous avons donc fait l’impasse sur les visites (musées, par exemple) et également sur le petit parc construit autour de la soi-disant « fontaine de jouvence » découverte par Ponce de Leon. Il semblerait que ce soit l’endroit le plus visité de la ville mais à vrai dire, entre prendre un café en terrasse et suivre la foule dans ce parc à mi-chemin entre le parc d’attractions et le parc archéologique, le choix était vite fait ! Peut-être que nous avons loupé quelque chose mais nous nous rattraperons une prochaine fois. Aux alentours de midi, nous avons donc repris la voiture pour filer en direction de Tampa et poursuivre ainsi notre road trip !

Et le reste…

Le reste concerne principalement Cocoa Beach, où nous avons passé une nuit. Nous devions visiter un peu les environs, dont Cocoa et Daytona. Mais c’était sans compter un autre petit incident, après l’orteil cassé, nous obligeant à faire l’impasse sur ce coin-là et à filer directement à Saint Augustine en fin de journée. Bon, on n’entrera pas dans les détails mais disons que les voyages peuvent entraîner quelques soucis intestinaux, qui n’ont pas épargné l’une d’entre nous (non, n’insistez pas, l’anonymat ne sera jamais levé sur cette affaire !)… Ne pouvant pas quitter la chambre à 11h, nous avons été contraintes de payer une seconde nuit d’hôtel puis, après d’interminables heures d’angoisse, de la douleur et un passage à la pharmacie, nous avons finalement pu quitter Cocoa vers 16h.

Avant de partir, nous avons tout-de-même fait une petite balade pour aller voir la plage. Cependant, nous n’avons pas trop traîné car il nous a semblé plus judicieux de privilégier Saint Augustine, que nous avons rejoint à la nuit tombée. Nous avons malgré tout eu la chance d’emprunter un bout de route fort sympathique, que nous vous recommandons si vous vous rendez vers St Augustine Beach. Pour cela, quittez l’Interstate 95 pour rejoindre la route 1, puis prendre la route 206, qui file tout droit vers l’océan et remonte le long de la paisible bourgade qu’est St Augustine Beach. Ce chemin, qui longe et traverse la forêt Matanzas, est l’un des plus agréables que nous avons parcouru durant notre road trip.

Alors, le verdict ?!

La côte Est est, certes, représentative de l’image que l’on peut se faire de la Floride mais elle est loin de n’être que cela et recèle de vrais petits trésors !

Pour ce qui nous concerne, bien que nous ne soyons pas ultra fans des plages bordées de grattes-ciel, il faut reconnaître que les étendues de sable le long de l’Atlantique sont agréables, immenses et que l’on y oublie facilement le décor situé en bordure de mer. Et puis, de toute façon, ce décor fait aussi partie du « package USA » donc, entre nous, on ne s’en plaint pas, bien au contraire !

Pour conclure, on s’est senties extrêmement bien à Fort Lauderdale, on a beaucoup aimé se balader dans Palm Beach et notre coup de coeur de ce côté de l’État serait attribué à Saint Augustine ! Nous avons adoré son architecture, son histoire et son côté paisible.

Seuls quelques petits regrets persistent : ne pas avoir eu le temps de visiter le musée de St Augustine ou de pousser un peu plus haut, jusqu’à Jacksonville, ne pas avoir pu découvrir Cocoa Village (il paraît que c’est mignon et puis, rien que pour le nom, ça nous disait d’y aller !), ne pas avoir jeté un œil du côté de Cap Canaveral en espérant apercevoir une fusée et ne pas être passées par Daytona, pourtant sur notre trajet.

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